Premières expériences et engrenages : Chapitre 15 Maitresse et novices

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 14 Invitées surprises
il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI Chapitre 15 : Maitresse et novices.

  • Retournez-le face à moi, ordonna Ladyscar avec une voix toujours engoncée, bâillonnée, comme si elle avait un tissu devant la bouche.

Une nouvelle boule de neige me frappa les fesses, accompagnée du rire enfantin de Nathalie.

  • Tu peux approcher, lui demanda Ladyscar tandis que Valérie me tordait le bras pour me faire me retourner.

  • Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-elle.

  • Une cage de chasteté. Cela empêche les hommes de bander, de se branler ou de copuler, et cela leur fait du mal s’ils essayent. Valérie attrapa la cage et la tira vers elle comme si c’était le seul moyen de la voir de plus près.

  • C’est ça que tu avais en cours cet après-midi !

Je ne répondis pas. D’ailleurs ce n’était pas une question. Sa main descendit sur mes couilles et les serra. Si c’était pour me faire mal, c’était raté, elle ne serrait pas assez. C’était juste excitant. Ma bite gonfla entre les barres de la cage. Elle recommença un peu plus fort. Un petit gémissement sortit de mes lèvres.

  • Par quoi commence-t-on ? demanda Valérie.

  • Faites déjà ce que vous voulez ? répondit Ladyscar. Il faut que vous vous sentiez à l’aise.

Nathalie me jeta une autre boule de neige sur mon sexe, touchant probablement la main de Valérie Le froid me fit l’effet d’une brûlure. Combien de neige avait-elle amené.

  • Viens, l’appela Valérie.

  • Je peux le gifler ? demanda Nathalie.

  • Bien sûr, répondit Ladyscar.

La gifle me frappa avec une telle force la joue gauche que ma tête fit un mouvement d’un quart de tour pour l’accompagner. Une seconde gifle moins puissante toucha l’autre joue. Elle est droitière pensai-je hors de propos. Nathalie s’était lâchée. Elle me pinça les tétons très forts alors que ceux-ci souffraient encore des blessures de la cigarette et les tourna. Loin. Je contins un cri.

  • Ça fait mal ? me demanda-t-elle d’une voix doucereuse, presque en s’excusant.

  • Oui, répondis-je avant qu’elle ne recommence plus fort, plus loin et plus longtemps.

Puis une troisième fois, une quatrième fois. Je les sentais chauffer. Elle aussi car elle reprit de la neige et l’appliqua dessus. Je sentais le velours de ses gants qui me massaient la poitrine. Elle approcha son visage du mien. Ses lèvres se posèrent sur les miennes. J’entrouvris la bouche par réflexe pour l’embrasser avant qu’elle ne morde au sang ma lèvre inférieure, la tirant vers elle de ses dents.

Alors qu’elle la relâcha et que la douleur s’estompait, elle me foudroya les couilles d’un coup de genou. Ces dernières s’écrasèrent sur l’anneau de la cage rendant la douleur insupportable. Je voulais refermer les cuisses, mais la barre d’écartement aux chevilles et la douleur dans mes bras retournés m’empêchait de me soulager.

Elle pinça la peau de mes couilles et la tira jusqu’à chercher à me soulever. Elle avait pris le contrôle et ne s’arrêtait pas une minute. Valérie complétait, se déplaçait où Nathalie n’était pas, choisissait une partie du corps délaissée par son amie. J’aurai parié que les rôles auraient été inversés, que Valérie, plus expérimentée dans le domaine sexuel, entrainerait son amie au-delà de ses limites. Là, ce soir, il semblait que seules les miennes étaient piétinées.

Tandis que pour Nathalie, tout n’était que douleur et souffrance, Valérie avait parfois des gestes attentionnés, sensuels, érotiques. Sa langue parfois me parcourait le corps, les tétons, les lobes d’oreille. Elle l’insinua même au milieu des barreaux de ma cage. Ce fut pourtant elle qui a eu la première l’idée des ongles. Elle attaque mon dos, me lança un tel frisson que Nathalie s’en reput pendant plusieurs minutes, essayant d’autres parties du corps, comme l’intérieur de mes cuisses. Mon esprit quitta mon corps. Je m’imaginais dans mon bain après et à la détente que j’aurai. Je m’imaginais sans la cage me branlant à loisir jusqu’à avoir une érection décennale.

Les pincements, les morsures, les griffes, les fessées et les gifles se succédaient sur toutes les parties de mon corps. J’essayai de ne pas réagir car si j’avais le malheur de bouger ou de gémir un instant, le geste qui l‘avait causé se reproduisait jusqu’à l’ennui de mon bourreau. Car Valérie s’était arrêtée depuis quelque temps. Elle prenait des photos à chaque position, à chaque idée nouvelle de Nathalie.

Une douleur vive aux couilles annula ma détermination de stoïcisme. Nathalie rigola. Elle avait un rire de petite fille gênée. C’était tellement excitant. Elle les frappait maintenant avec un doigt qu’elle mettait en tension avec son pouce. Je reconnaissais cette sensation, l’ayant déjà expérimenté. Elle accélérait la cadence, mettait plus d’intensité que j’en aurai osé seul. Les douleurs s’amplifiaient, se chevauchaient, entraient en résonnance.

Je pinçai mes lèvres entre mes dents. Elle arrêterait plus vite si je ne réagissais pas. Enfin, je croyais. J’avais l’impression que mes couilles n’étaient plus que deux gigantesques bleus. Des larmes sortirent de mes yeux malgré la cagoule.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 16 Bâillonné
Très belle suite, c'est le genre d'expérience que j'aimerais connaître.... Vivement la suite
Ces deux jeunes filles prennent infiniment de plaisir à la situation. Et vont sans doute devenir des adeptes convaincues de ces pratiques.
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